LES CYGNES

LES CYGNES
Dans la brume dorée de l’automne
Ils glissent silencieusement.
Leur blancheur lumineuse rayonne
Dans le petit matin tremblant
Le silence cajole notre âme,
L’étang s’éveille lentement,
Entretenons en nous la flamme
Du bonheur, tout simplement.
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