SOLEIL COUCHANT
SOLEIL COUCHANT
Les mauves du couchant adoucissent l’espace,
Les ors flamboyants éclaboussent le ciel,
C’est l’heure amie sereine qui laisse toute la place,
Au calme vespéral, si proche du sommeil.
Et puis tout doucement la pensée qui s’envole,
S’effrange, libre et pure, bien au delà des criques,
La nature respire, en ces instants magiques,
Où le cœur s’apaise, se tait, et se console.
Sélène, la sublime, se mire dans l’onde complice,
Dans creux de la vague son rayon doux se glisse.
Sous cette lueur étrange, toute la plage se moire
De mots fous, interdits, mots d’amours et d’espoirs.
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