A MES "PRESQUE" AMIS
AVIS A MES PRESQUE AMIS….
Les faux, les éphémères …..
Il en est des gens comme du temps. Ils changent… ou agissent parfois de façon imprévisible… et plutôt que de s’en froisser stupidement, il serait plus intelligent, amical, de chercher à savoir pourquoi avant de condamner. Que dire aussi de leurs états d’âme, de cette propension à se croire le centre du monde, de leur monde ! L’égoïsme, l’égocentrisme sont les maîtresses lois de leur univers. Tout leur est dû, tout et surtout les autres, « l’autre », doit concourir à leur bien-être, à leur confort qu’il soit matériel, physique ou moral. On doit être à leur écoute, à leur service, savoir rendre service, se taire surtout, ne pas interférer dans leur petite organisation étriquée et mesquine, et surtout NE PAS DERANGER !!! Mais s’enquérir régulièrement de leur état d’âme, de leur état de santé….
Quant à eux, ils ne lèveront pas le petit doigt pour se soucier de vous, pour demander si tout va bien, rendez-vous compte : on pourrait les solliciter pour un service (ce n’est jamais le moment) ou simplement leur demander de nous écouter quand le moral flanche un peu.
Alors : Amis d’un jour, collègues éphémères, si je ne fais pas partie de vos vies, sachez qu’il n’y a pas de place pour vous dans la mienne.
Mes amis à moi s’inquiètent si je ne donne pas signe de vie, mes amis à moi appellent ou envoient un texto, mes amis à moi ne s’offusquent pas de mes silences car ils savent que je suis fragile.
Pour mes amis à moi je suis à l’écoute, toujours disponible, je ne les juge pas hâtivement, je les aime comme ils sont car ce sont de vrais amis.
Merci à tous mes amis, les vrais, les fidèles… et pour les autre… je les plains car dans leur vie il n’y a pas beaucoup de place pour la joie, le bonheur et l’amitié vraie…. Mais je ne me risquerai plus à essuyer les bleus à l’âme et le chagrin devant leur indifférence.
Je leur souhaite d’être heureux dans un monde qui n’est pas le mien