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A Michel...
Je ne tiens pas une rubrique nécrologique, mais ce début d'été a été meurtrier.
Michel: fin Juin - Jean-Pierre : Fin Juillet - Mireille : fin Juillet.
MICHEL .
Il aimait la vie, les chats, la nature et surtout il aimait Jacqueline.
J'ai reçu aujourd'hui un petit mot accompagné d'un texte de Michel qui a été lu lors de la cérémonie d'adieux. Je vous le transmets car je le trouve sublime, fidèle à cet ami généreux et profondément bon.
<La mort n'est rien, je suis simplement passé dans la pièce à côté.
<Je suis moi, vous êtes vous. Ce que nous étions les uns pour les autres, nous le sommes toujours.
<Donnez-moi le nom que vous m'avez toujours donné.
<Parlez-moi comme vous l'avez toujours fait.
<N'employez pas un ton solennel ou triste.
<Priez, souriez, pensez à moi.
<Que mon nom soit prononcé comme il l'a toujours été, sans emphase d'aucune sorte, sans trace d'ombre.
<La vie signifie ce qu'elle a toujours signifié.
<Elle est ce qu'elle a toujours été.
<Le fil n'est pas coupé simplement parce que je suis hors de votre vue.
<Je vous attends, j'ai tout le temps.
<Je ne suis pas loin.
<Juste de l'autre côté du chemin.
<Michel.
Michel, je sais que tu ne m'en voudras pas si je ne suis pas pressée de passer <dans la pièce à côté>. Je te dédie mon sourire complice, afin de faire briller tes yeux....
Michel: fin Juin - Jean-Pierre : Fin Juillet - Mireille : fin Juillet.
MICHEL .
Il aimait la vie, les chats, la nature et surtout il aimait Jacqueline.
J'ai reçu aujourd'hui un petit mot accompagné d'un texte de Michel qui a été lu lors de la cérémonie d'adieux. Je vous le transmets car je le trouve sublime, fidèle à cet ami généreux et profondément bon.
<La mort n'est rien, je suis simplement passé dans la pièce à côté.
<Je suis moi, vous êtes vous. Ce que nous étions les uns pour les autres, nous le sommes toujours.
<Donnez-moi le nom que vous m'avez toujours donné.
<Parlez-moi comme vous l'avez toujours fait.
<N'employez pas un ton solennel ou triste.
<Priez, souriez, pensez à moi.
<Que mon nom soit prononcé comme il l'a toujours été, sans emphase d'aucune sorte, sans trace d'ombre.
<La vie signifie ce qu'elle a toujours signifié.
<Elle est ce qu'elle a toujours été.
<Le fil n'est pas coupé simplement parce que je suis hors de votre vue.
<Je vous attends, j'ai tout le temps.
<Je ne suis pas loin.
<Juste de l'autre côté du chemin.
<Michel.
Michel, je sais que tu ne m'en voudras pas si je ne suis pas pressée de passer <dans la pièce à côté>. Je te dédie mon sourire complice, afin de faire briller tes yeux....
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